Triste désert que ce marché qui ne parvient pas à obtenir la transparence des échanges requise pour être considéré comme sain. Maints projets sont mis en avant, une récente loi sur l’auto-défense a été portée – et rejettée – par le parlement, on parle d’une nouvelle règlementation des armes, des bruits laissent entendre une association Bjorn Kellson et Luciano Giovani pour la création d’un complexe d’entrainement au tir, mais qui paye, comment, à quelle hauteur.

Le cancer de notre système est son opacité. Les projets sont montés mais jamais chiffrés, on ne sait pas ce qu’il advient d’éventuelles subventions des généralités ni si celles ci en verse. Il manque une véritable traçabilité des échanges et un jeu accru du système bancaire. Nous ne voyons que la partie émergée de l’Iceberg le versement des salaires, des flux financiers qui ne vont que dans un sens. Pourquoi ne pas obliger la traçabilité des deux échanges. Herrt Kellson fait des travaux dans son chalet, soit ! avec quel argent, il n’avait pas reçu ses salaires ! où a t-il trouvé ses outils, ses planches de bois, à qui les a t-il acheté, quand? comment?

L’État fédéral prévoit 62 £Rk au titre de dépenses alimentaires et courantes, il serait temps de véritablement se pencher sur l’économie intérieure du pays et de chiffrer les actes, de chiffrer les lois, de chiffrer notre vie, car à ne rien savoir nous ne progressons pas, et au vu de la compositions des recettes records annoncées par le secrétariat aux deniers…. à savoir des citoyens disparus, bientôt il ne restera que de vert pâturages dans le Norduryyk.

Sonja Blomberg