Parce qu’un pays pour être informé à besoin de pouvoir compter sur des sources aussi riches que variées, d’autant plus des périodes difficiles où des entités naissent et vivent de l’ombre et de l’ignorance pour étendre leur influence néfaste; Parce qu’un pays démocratique ne peut se contenter d’un seul média, aussi courageux et actif soit il, car de son statut d’unique, il ne peut que susciter les divisions et la suspicion sur son intégrité éditoriales; L’Økonomijgtãvegg décide de lutter contre la torpeur des entrepreneurs Norduryyks et étrangers et propose de prendre en charge financièrement tout nouveau média désirant d’évoluer au sein du Norduryyk, une entreprise sans précédent mais qui nous apparait cruciale.
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L’Økonomijgtãvegg ne peut et ne doit pas se contenter d’être le seul acteur majeur du Microdiff, et encore moins d’être la seule source d’informations non gouvernementale, tant bien même de par nos statuts, la neutralité nous est imposée, une neutralité surveillée par le Haut Collège des Lois, le pouvoir judiciaire, un service fédéral. La situation n’est peut être la plus en accord avec nos convictions politiques, mais elle a le mérite de nous permettre de diffuser l’information auprès de la population Norduryyks.
Cette population est en demande, en demande de vérités et d’avis, d’opinions et de débats, cette population refuse de laisser un pays né il y a près d’une décennie vivre dans une pauvreté intellectuelle médiatique sans pareille. Balzac, écrivain Français [Exl] d’un temps où le journalisme était une profession de foi autant qu’un acte politique, disait que:
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Le journaliste est une pensée en marche comme le soldat en guerre.