Herrt Søren Heggtveit,

Gůutdaagt,

Nous avons aujourd’hui le plaisir de recevoir Ht. Søren Heggtveit, président du LijberaalVolkkPårtyy, parti centriste et libéral, anciennement allié au MasderandijgtãInselvvtendigGrůup de Ht. Erik Lykkdort-Alltsen, actuel chef de la diplomatie Norduryyks. Vous êtes l’un des principaux responsables de Microdiff, son porte parole, et le propriétaire du journal HavvMediå.

Aujourd’hui le thème qui nous importe est Économie de Marché et Politiques Économiques,

1)    Comment qualifieriez vous le marché dans lequel évolue le norduryyk, est il selon vous ouvert sur l’extérieur ou replié sur ses frontières?

Economiquement parlant, le Norduryyk coopère peu avec ses voisins. Je pense que ce n’est pas par manque de travail diplomatique, Erik Lykkdort-Alltsen ayant toujours fait du bon travail en tant que secrétaire à la diplomatie. Pour répondre à votre question, le pays est donc plutôt replié sur ses frontières, non par volonté mais par absence d’un système économique pérenne et fiable.

2) Le système économique en légère reprise depuis le passage d’Heyden Calbergsen au secrétariat aux deniers reste particulièrement vulnérable. Les réformes initiées, la hausse des taxes, l’imposition, n’ont pas abouties, beaucoup reste à faire, les salaires ne sont plus versés que bi-mensuellement. Quel est votre regard sur l’économie du pays?

Effectivement, Heyden Calbergsen avait entrepris la reprise du système économique. C’est une tâche complexe, qui, de mon point de vue, ne peut être réalisée par une seule personne. C’était un bon début, même si je me suis personnellement opposé à certaines propositions en particulier celles qui visaient à augmenter significativement les taxes. Nous ne remettrons pas une économie sur pieds en imposant de façon lourde, de même que nos voisins ne seront pas attirés par un investissement ou une coopération avec notre pays de cette manière. Je suis néanmoins conscient qu’il est nécessaire pour l’état d’assurer un certain nombre de services et de verser les salaires. Néanmoins, les taux proposés me semblaient excessifs et il ne m’a pas été apporté de réponse satisfaisante sur le calcul de ces derniers. Il me semble donc que tout reste à faire et que le prochain cabinet aura de quoi faire, toujours à condition d’avoir une équipe compétente dans la gestion des deniers.

3) Les relations de nos entreprises avec le monde extérieur sont floues, le marché boursier n’est pas encore opérationnel, quel est votre ressenti sur la question, que proposeriez vous?

Comme je le disais précédemment, si les relations de nos entreprises avec l’extérieur sont floues, c’est parce que notre propre système économique est flou. D’autre part, notre fédération compte peu d’entreprises, et nous devons par tout les moyens encourager l’arrivée de nouveaux entrepreneurs sur notre territoire. Encore une fois, un système qui reposerait sur un impôt fort serait voué à l’échec car il empêcherait la création d’entreprise.

4) Pensez vous qu’il faille réguler les flux entre les généralités et qu’une généralité puisse se permettre d’instaurer une forme de douanes pour protéger son économie locale?

Il n’en est pas question. Les généralités, avec leurs particularités, sont une richesse pour notre Fédération. Toutefois, il ne faut pas tomber dans le piège du repli sur soi si l’on veut développer l’économie de tout le pays. Nous sommes une république fédérale mais unie et nous devons traiter ces problèmes importants ensemble.

5) Un projet législatif vous tient il à cœur pour les mois à venir?

Un chantier dans ma généralité, oui. L’ouverture de Havvyyk sur la mer me semble être capitale pour son avenir et son développement. Nous avons des débats concernant le port de Havv et le tourisme, ce dernier étant l’une des priorités du LVP pour la généralité.
Une seconde priorité, est celle de l’organisation rapide d’élections fédérales afin de sortir le pays de l’impasse dans laquelle il se trouve depuis quelques temps. Nous comptons sur Byrgitt Börggmenkt pour prendre une décision au plus vite.