Concernant les autres provinces, le Söryyk planche régulièrement sur la cartographie de sa généralité. Il se murmure que Fiälldyyk n’est pas en reste. Quand rendrez vous public vos travaux?
( éclats de rire ) Söryyk ? Vous plaisantez, j’espère ? Mais Söryyk comme Havvyyk ne sont capables à rien. Les dossiers stagnent, les idées rasent le plancher de leurs Assemblées, il n’y a plus rien de sérieux et de concret de la part de ces deux Généralités d’où leur jalousie pour Fiälldyyk qui elle travaille, propose et continue sa route. Fiälldyyk a toujours été le moteur du Norduryyk, une Généralité de défis et de progrès. On ne change pas une équipe qui gagne et le NSB est l’un des acteurs politiques incontournable dans ce succès.
Au Söryyk le dernier projet de loi débattu remonte à Septembre 2013, à Havyyk à mai 2013 dans l’approche d’un nouveau développement du tourisme. Et nous ne parlons que de projets, pas de votes. Faudrait il fusionner ces deux généralités géographiquement liées pour relancer la machine citoyenne, et cesser de voir dépérir ces deux provinces?
Elles sont ce qu’elles veulent, je m’en moque complètement. Tant que Fiälldyyk reste ce qu’elle est, le reste m’est bien égal. Qu’elles fusionnent si çà leur chante.
De nouveaux migrants passent la frontière. Si le dernier en date, actuellement en zone de rétention à la douane, se dit professeur d’université, le dernier entré sur le territoire, Harald Hardrada, est un homme qui se dit volontairement violent et antisystème. Est ce là la barrière douanière que vous nous vantiez?
Evidement, c’est bien cela que je défends depuis des années. Ce pays est devenu une passoire et s’il faut une immigration, je suis pour une immigration choisie et non pas ces déchets qui viennent taper à notre porte et qui exportent leurs thèses terroristes. A vouloir trop faire entrer n’importe qui, le Norduryyk va à sa perte: perte politique, sociétale, et surtout perte culturelle. C’est bien pour ces raisons que mon rassemblement à Ryykstadd doit nous préparer au combat pour gagner les prochaines élections fédérales. C’est mon désir et mon projet d’aujourd’hui.
B.K.