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HM : Pourquoi avoir choisi le PR a votre arrivée au Norduryyk ?

DC : N’étant pas natif du Norduryyk, j’ai oeuvré dans différents partis politiques de gauche de courants plus ou moins extrêmes. A l’époque, il existait l’internationale des Gauches Micromondiale, ou l’occasion m’a été donnée d’étendre mes relations dans plusieurs nations, Norduryyk y comprit.

En observant les programmes politiques durant ma période de validation de LP, celui du PR m’est apparu le plus dynamique et réaliste. Les anciens leaders n’étaient pas des moindres dans leurs domaines au sein de notre Nation. Pour ne cité que Skeggi Goonisky et Yorïgh Födralsky qui ont jetés les bases d’une parti importante de l’économie, du social. Nous reviendrons là dessus plus tard.Pour cela, le PopularrRëenųww, méritait pour de multiples raisons d’être remit sur les rails.

La Généralité de Sörr faisait aussi partie de mes choix lors de ma demande d’immigration : Pôle universitaire, la culture et la vie économique m’ont impressionnés par leur diversité. Mais il faut souligner le délabrement du système pour de multiples raison que je n’évoquerais pas ici. Le constat sur les réalités sociales de la population, le taux de chômage, et le combat quotidien de familles entières pour vivre décemment est affligeant. A l’heure actuelle, le regain d’activité permet d’alimenter le changement avec plus de vigueur.

HM : Darius Calicus, vous avez récemment pris la tête d’un parti qui était tombé aux oubliettes, le PR. Pouvez-vous nous rappeler son orientation et ses idées ?

DC : Les époques changent, les idées avancent. Et Comme je vous l’ai dit précédemment, les lignes directrices du PopularrRëenųww m’ont séduites lors de mon choix de PPL par leur fraîcheur. Il va de soit qu’elles forment la structure de le programme Générale et Fédérale.

L’application des lois économiques fondamentales est une priorité lorsque le Norduryyk sera doté d’une banque d’ici peu. Elles permettront d’enrayer la crise actuelle, et stabiliseront un bon niveau de vie à l’ensemble de la population. Influant inévitablement sur le quotidien de milliers de citoyens et d’entreprises laissées à l’abandon par les employeurs.

Il est paradoxal de voir que le PR s’implique énormément dans les affaires économiques et d’avoir une image de gauchiste que nous donne nos détracteurs. Nous sommes pour une bonne santé de nos sociétés afin qu’elles profitent à tous sans exception. Les citoyens ont besoin d’un cadre de vie respectueux de l’environnement, c’est donc pour cela que le PR s’engage tant à l’échelon Général que Fédéral. Car il est important de préserver l’ensemble des composantes qui font la vie de la Nation. Nous ne sommes pas partisans des lois visant l’obligation si il existe une possibilité de le faire progressivement, en conciliant les besoins avec les réalités de chacun dans tout les domaines que ce soit. L’urgence obtient là où le besoin demande.

HM : Les élections Fédérales approchent, envisagez-vous d’être candidat ou jouerez-vous le jeu d’une alliance à Gauche, comme le PR en faisait auparavant ?

DC : Nous discutons actuellement au sein du parti afin de savoir si les élections Fédérales seraient un choix judicieux pour notre politique globale. Les Secrétariats à l’Economie, à l’Education voir même aux Généralités serait plus judicieux afin de dynamiser les orientations de notre Nation. Sans pour autant dédaigner le role important du Grand Chancelier, qui conduit l’ensemble des discutions fédérales.

Concernant les alliances, nous n’y avons tout simplement pas réflechi et les stratégies ne nous m’intéressent pas. La force des choses entrainera un regroupement des idées de toute façon, soyons réalistes. Il n’y a pas de concurrence dans les idées similaires! L’union de la gauche est désormais trop communautaire pour moi. Je serais plus pour un collège de pensées qu’elle soit de gauche, centre ou droite. Cela n’empêche pas de combattre le sectarisme ou l’extrémisme politique.

HM : Quel est l’état de santé du PR à l’heure actuelle ? Comment envisagez-vous de “recruter” de nouveaux adhérents ?

DC : Il suffit de voir les différentes attaques que subit le PR afin de voir que nous sommes une menace politique dans l’anarchie cacophonique actuelle. Le changement fait peur et nous allons faire évoluer le quotidien des citoyens malgré tout.Le PR ne recrute personne, chacun est libre de venir si inscrire de son propre chef.