Lors de notre entretien avec Heyden Calbergsen, nous avons pu comprendre que le leader du parti radical de Söryyk avait été conquis par la forte personnalité de la Présidente du NSB, Byrgitt Börggmenkt. Lui-même, tout au long de la conversation, célèbre avec beaucoup de sincérité sa détermination et sa pugnacité même si, par moment, les prises de positions de la belle Byrgitt lui fasse penser à une dinde; Calbergsen s’empressant d’ajouter “j’aime provoquer autant qu’elle provoque”.
Serons-nous en train d’assister au jeu du chat et de la souris dont ce badinage politique cacherait des intentions plus sérieuses comme un rapprochement entre le LÐP et le NSB ? A l’heure actuelle, nous n’en savons rien.
Et si les extrêmes s’attirent volontiers, il est certain que dans le jeu de l’amour et du hasard il y a toujours un perdant. A espérer que Ole Thorsen ne devienne pas le dindon de cette farce dont la mise-en-scène serait signée Heyden Calbergsen. Les lecteurs apprécieront.